Dans cet article, nous répondons à la question « pourquoi, quand et comment faire des stocks alimentaires – dits survivalistes« .

Si vous cherchez une liste des aliments à stocker chez soi, rendez-vous sur notre listing de la réserve alimentaire.

Concernant les stocks de matériels et équipements divers, rendez-vous sur notre article dédié aux réserves et stocks non-alimentaires.

Introduction aux réserves alimentaires

Il y a peu, une personne réalisant des réserves de nourriture chez elle était directement qualifiée de « survivaliste un peu fou ». C’est vrai : pourquoi stocker de la nourriture en quantité chez soi alors qu’il y en a plein les supermarchés ? La réponse est évidente : lorsqu’une crise soudaine arrive, les magasins sont pillés quasi illico. L’histoire nous l’a prouvé à maintes et maintes reprises. Face à cet argumentaire, l’on entend souvent dire « oui, mais nous sommes au XXIème siècle, il n’y a plus de guerre, plus de problème. En cas de catastrophe naturelle il y a les secours… ». C’est cela, oui !

Mieux : les personnes prévoyantes, voire survivalistes, ont tendance à être moqués par la machine médiatique. Ils sont en effet bien souvent dépeints comme des extrémistes un peu fêlés attendant de pieds ferme la fin du monde ou une invasion de zombies.

Sauf que…

A l’annonce du confinement relatif à la pandémie du coronavirus covid-19 en mars 2020, les supermarchés ont été pris littéralement d’assaut. Les gens se battaient à l’intérieur et sur les parkings grouillant de centaines de personnes. Deux articles sont partis en premier à toute vitesse : les pâtes et le papier toilette. Un fait assez révélateur. La France a en effet soudainement pris conscience de sa fragilité. Le citoyen lambda qui ne jurait hier que par sa TV grand écran ou par le dernier smartphone se rue sur l’un des aliments non-périssables les moins chers, ainsi que sur des rouleaux de papiers lui permettant de conserver un soupçon de dignité !

Coronavirus covid 19 et papier toilette – Alexas_Fotos – Pixabay

 

Aujourd’hui, espérons que chacun a pris la mesure du problème et a enfin compris l’intérêt de réaliser constamment des réserves hors situation de crise.

Retrouvez également ici notre première vidéo consacrée au stock de nourriture survivaliste en cas de crise:

L’approvisionnement alimentaire : un système fragile prêt à craquer à tout moment

En moyenne, un français ne dispose que de quelques jours de nourritures dans ses placards ou son frigo : 3 jours lorsque l’on est citadin, une semaine à dix jours lorsque l’on vit à la campagne… Sauf que les supermarchés fonctionnent en flux tendu. En effet, ces derniers appliquent la techniques japonaise du JAT (Just at Time ou juste à temps) reposant notamment sur la logique du zéro stock. En effet, ce qui figure dans les rayons représente la quasi totalité des stocks des hypers.

Les réserves dans l’arrière boutique ne contiennent que quelques palettes par rayon permettant de refaire le facing ou d’absorber un court moment de flottement avant l’arrivée des prochains camions. Vous l’aurez donc compris, l’équilibre devient précaire. Il suffit juste d’un énorme blocage empêchant les camions de circuler et tout le monde se retrouve à la diète forcée.

 

Chaîne logistique – Schwoaze – Pixabay

Les produits qui partent en premier durant les crises

Au moindre signal d’alerte, et tout un chacun songe à ses besoins, à ceux de sa famille et, plus largement, à ceux de son clan. C’est inné, c’est humain. Et comme personne ne dispose de réserves, tout le monde se rue en même temps dans les points de vente en accélérant la pénurie (voire en la créant).

Quels sont les produits qui disparaissent en premier dans les rayons ? Il s’agit bien sûr des produits en indispensables, tels que les aliments pouvant se conserver longtemps (pâtes, conserves, semoules, riz…). A l’annonce de la fermeture des écoles le lundi 16 mars 2020 à cause de la pandémie du coronavirus covid-19 (annoncée le jeudi 12 mars à 20h par le Président de la République), les rayons pâtes et conserves étaient vides dans les hyper le vendredi à la première heure !

Autre produit qui devint l’un des symboles de cette crise : le papier toilette. En effet, il semble difficile dans nos vies modernes de nous passer d’un tel confort ! Viennent ensuite d’autres articles, comme l’eau, le lait, le sel, le sucre, les huiles, les sucreries (pour occuper les enfants!), le café, le thé…

Chaque famille pense aussi à son/ses nourrisson(s) : certains n’hésitent, pas au nez et à la barbe des autres clients, à s’emparer égoïstement de tout le stock de lait pour bébé et autres petits pots. Quant aux couches, n’en parlons pas !

Enfin, l’alcool demeure très prisé, tout comme les fournitures diverses et variées, comme les accessoires de premier secours, les bougies, les allumettes… Pour les mêmes raisons que le papier toilette, une véritable razzia s’opère également en général dans les rayons spécifiques aux serviettes et tampons hygiéniques. Le rayon savon, lessive et produits d’hygiène et d’entretien peuvent de surcroît être touchés, mais moins sévèrement. Il est plus commun de penser avant tout à son confort, à sa nourriture et à son hydratation avant de penser à l’hygiène (ce qui est une grave erreur!).

Comme il est question ici des réserves alimentaires à la maison, nous nous restreindrons à ce sujet. Les réserves non alimentaires seront abordées à l’occasion d’un autre article spécifique.

Tous ces articles auront donc tendance à disparaître en quelques heures en cas de crise soudaine (achats-panique). Bien souvent, il suffit de 24 à 48 heures pour réapprovisionner (le samedi 14 mars 2020 au matin, les rayons des hypermarchés étaient de nouveau fournis).

Mais il suffit d’une crise plus ou moins durable de la chaîne d’approvisionnement pour créer une deuxième pénurie durable. Une seconde crise qui s’ajoute à la première et apporte en sus au cocktail la faim et la violence pour se nourrir… Youpi !

 

Rayons de supermarché – Peggy CCI – Pixabay

Quand faire des stocks chez soi ?

Tout de suite ! Vous l’aurez compris, mieux vaut en réaliser dès aujourd’hui et ne pas attendre de signes annonciateurs. La crise arrive plus vite qu’on ne le croit ! La preuve : Après la fermeture des écoles le lundi 16 mars, la rumeur courait que la France avançait vers le confinement total et les supermarchés furent de nouveau pillés (rappelons que le vendredi précédent, les magasins avaient connu une première vague).

Le soir même, le confinement était annoncé par Emmanuel Macron… Un confinement qui serait opérant le mardi 17 mars à midi ! Le mardi matin, re et rebelote : une nouvelle session d’achats-panique secoua le pays. Résultat : impossible d’aller dans un supermarché sans se battre, sans être piétiné… Ou sans risquer de tomber malade vu le coronavirus qui circulait !

Alors certes, il était toujours possible de faire ses courses durant le confinement. Certains n’hésitèrent pas à user et à abuser de ce droit en remplissant chaque jour des attestations dérogatoires de sorties… pour acheter leurs petits croissants !

Mais celui qui souhaitait ne pas tomber malade ou ne pas contaminer autrui savait qu’il valait mieux se claquemurer et ne plus bouger de chez soi. La maison apparaît alors comme un refuge résilient dotées de réserves. Un premier pas vers le concept de base autonome durable (BAD) cher aux survivalistes.

Les avantages du stockage de produits

Il n’est plus besoin de souligner l’intérêt d’un stock alimentaire « de survie » en cas de crise. Mais cette réserve permet bien d’autres avantages en temps normal ou quasi normal.

  • L’on dispose toujours de produits pour cuisiner même si l’on n’a pas eu le temps de faire les courses ;
  • Faire de sérieuses économies lorsque l’on profite des promotions ou des prix de gros pour faire ses stocks ;
  • Défier l’inflation en mangeant au prix de l’année précédente ;
  • Surmonter un accident de la vie comme une maladie ou une soudaine mise au chômage empêchant les entrées d’argent. Le stock alimentaire apparaît ici encore comme une police d’assurance permettant de rester serein. Cela nous laisse du temps pour chercher un job qui nous convient sans sauter sur n’importe quel boulot sous-payé ou ennuyeux uniquement pour remplir le frigo !

Comment se préparer un stock alimentaire ? Les techniques économiques

Certains diront « en ayant de l’argent ».Cela peut-être vrai, mais c’est en partie erroné. En effet, il est courant en temps de crise d’entendre dire « seuls les riches peuvent s’acheter 3 mois de nourriture ».

S’il s’agit d’acheter trois mois d’un coup, on est d’accord. Mais les plus malins n’ont pas besoin de mettre un pied dans un magasin quand la rupture de la normalité s’annonce. Ils ont déjà 3, 6, 9 mois, voire un an de stock chez eux ! … Et ils ne sont pas pour autant pleins aux as. Ils profitent de diverses techniques pour ce faire :

  • acheter de bons produits en gros quand c’est possible pour réduire le prix. Il restent donc attentifs aux offres et fréquentent les réseaux de consommateurs citoyens comme les groupes « cagettes » ;
  • Profiter de toutes les bonnes promotions;
  • Profiter des dates courtes et congèler ;
  • Réaliser un stock petit à petit. Vol West et Piero San Giorgio, auteurs de « Rues Barbares », préconisent la technique du « copy-canning ». Cette méthode consiste à faire ses courses normalement toutes les semaines, tout en prenant en double un à 5 aliments différents. Cela permet d’augmenter le prix du caddie d’une dizaine d’euros seulement à chaque fois tout en obtenant en moins de 3-4 mois quelques semaines de stocks de denrées non-périssables.

 

Stock alimentaire – B Carpenter securefix – Pixabay

Par où commencer pour réaliser son stock alimentaire ? Les premières réflexions

Dans un premier temps, faites le tour de vos placards et observez ce qui peut très vite manquer. Faites une revue de vos habitudes alimentaires et posez là sur une liste. Pensez avant tout collectif. Il s’agit de nourrir l’ensemble des membres de la famille en maintenant un semblant de normalité. Hors de question donc de faire l’impasse sur un stock de biscuits et de bonbons si les enfants en consomment de temps en temps. En cas de problème, de surcroît durable, ils devront se sentir rassurés et préféreront une petite sucrerie à un « biscuit de guerre ».

Imaginez également le cas où la crise toucherait l’alimentation en énergie. Imaginez : vous voyez vous sans eau, sans électricité, sans gaz ? Étes-vous équipé d’un groupe électrogène, d’un filtre à eau, d’un réchaud de camping ? Si non, pouvez-vous tout de même vous nourrir ? Par exemple, sans eau, vous pouvez tout bonnement oublier les pâtes et le riz. Imaginez la catastrophe ! Auquel cas, des boites demeurent une solution passable : les préparations (cassoulet, lentilles, raviolis…) peuvent être consommées sans ajout et froides. Le mieux encore demeure de s’équiper de moyens alternatifs permettant d’obtenir de la chaleur, de l’eau et plus globalement, de l’énergie.

Menez cette réflexion en famille pour recueillir les meilleures idées. N’oubliez pas de prévoir plus que pas assez. Qui peut le plus peut le moins et, en temps de crise, il est courant de nécessiter de davantage d’apports énergétiques. Notons néanmoins qu’un contexte de confinement chez soi sans activité physique réduit de facto ses besoins énergétiques. Maintenir une alimentation normale ou faire des excès aura forcément dans ce cas un impact sur votre embonpoint et votre forme physique !

Où stocker ma réserve alimentaire à la maison ?

  • Notre frigo servira bien sûr à maintenir au frais les produits devant être consommés en quelques jours. Il ne s’agit donc pas du lieu à prioriser pour un stockage. Surtout qu’un frigo se doit d’être lavé au moins une fois par mois au désinfectant pour des questions d’hygiène. Il ne s’agit donc pas d’amonceler à l’intérieur des bocaux.

 

  • Le congélateur rend pour sa part bien des services. Il permet de congeler les produits à date courte, les surgelés en promotion… Il permet par ailleurs de conserver au moins un an la plupart des produits comestibles. Sauf qu’en cas de panne de courant et sans groupe électrogène, tout peut vite être perdu. Il convient donc de ne pas tout miser sur le congélateur et de trouver des solutions de repli en cas de coupure de courant.

 

  • La cave : une cave non humide est parfaite pour maintenir au frais, au sec et dans l’obscurité de nombreuses denrées, telles que les boissons, les pommes de terre, les pommes…

 

  • Les placards : Les placards placés à l’écart de la chaleur à 20° maxi, dans les maisons ne subissant pas de grandes variations de températures, sont parfaits pour conserver les pâtes, les conserves, les huiles, les bocaux…

 

  • Les étagères : Les étagères sont parfaites pour y placer les bocaux contenant ce que vous mangez au quotidien ; pâtes, semoules, sucre… Il ne s’agit toutefois pas de ranger l’intégralité de votre stock sur des étagères. Sur une étagère, les aliments sont en effet exposés à la lumière, ce qui nuit à leur conservation… A moins que votre pièce soit dénuée de fenêtre.

Si vous manquez de places, il est également possible d’optimiser des espaces inutilisés pour y placer de la nourriture. Prévoyez un énorme tiroir sous le lit par exemple. Le tout est de trouver des endroits à la fois aérés, à température quasi constante et non humides. Les garages ou les abris extérieurs sont donc à éviter, tout comme les greniers où il peut faire très chaud ou très froid.

Enfin, pensez à être discret. Votre stock ne doit pas être visible pour le premier visiteur venu. Il est même préférable que vous ne parliez à quiconque de votre réserve alimentaire… Pourquoi ? C’est simple : en cas de crises, bien des cigales bien informées iront sonner chez la fourmi… Autrement dit, vous !

En termes de contenant, ceux-ci se devront d’être adaptés à l’aliment afin de maximiser sa longévité et sa comestibilité : bocaux maison pour les légumes et les plats préparés (utiliser un stérilisateur ou la lactofermentation), les sachets en Mylar avec absorbeur d’oxygène, boites et contenants divers…

Pensez également étanchéité : certaines denrées non périssables peuvent vite être ravagées par les bestioles si elles ne sont pas mises à l’abri. Ainsi, ne gardez pas de boîtes ou de sachets endommagés. A propos de ravageurs (rongeurs, insectes), évitez le contact direct avec le sol. Cela permettra également de ne pas ruiner une partie des réserves en cas d’excès d’humidité ou d’inondations.

La rotation des stocks

Quand bien même vous miserez sur des denrées à conservation longue pour votre stock (pâtes, blé, riz, conserves, aliments déshydratés/lyophilisés, fruits confits, confitures, saumures, viandes séchées…), il vous faudra contrôler leur date de péremption.

Le piège pour beaucoup de survivalistes en herbe consiste à acheter un stock et ne pas y toucher pendant un certain temps. Sauf qu’au bout de quelques années, ces derniers se retrouvent face à des aliments périmés ou à consommer d’urgence… Et tout est à recommencer !

Le mieux demeure de respecter l’adage suivant : « stockez ce que vous consommez, consommez ce que vous stockez ». Le stock survivaliste se confondra alors avec vos placards de tous les jours et la rotation du stocks n’en sera que plus facile.

Il vous suffira de tenir un tableau de type Excel avec la liste des aliments que vous stockez avec les dates de péremption afin d’optimiser la gestion, ou adopter une solution plus simple de type FIFO. Cet acronyme anglo-saxon (first-in, first out) est bien connu des managers en logistique : les premiers aliments rentrés seront les premiers sortis du stock… Ce n’est pas plus difficile que cela !

Ainsi, il convient de bien ranger ses placard et ses étagères en classant les produits. Les nouveaux produits achetés seront placés dans le fond tandis que les produits achetés précédemment avancent d’un cran. Ainsi, votre placard tournera naturellement, vous n’enregistrerez aucune perte et vous aurez illico une vision d’ensemble des denrées manquantes et à racheter en ouvrant le/les placards.

A noter que certaines dates limites de consommation (DLC) ainsi que les dates limites d’utilisation optimale (DLUO) n’ont une valeur uniquement légale . Bon nombre de produits demeurent consommables quelques temps après l’échéance. Il se peut toutefois que leurs qualités organoleptiques et nutritionnelles ne soient plus garanties. Prenez garde toutefois, en temps de crise et à n’importe quel moment, une intoxication alimentaire demeure toujours malvenue. Si l’odeur, l’aspect, la texture du produit semble bizarre, c’est tout simplement que le produit est impropre à la consommation : jetez !

Autre précision, à propos des boites de conserve : si une boite de conserve est bosselée, mieux vaut la manger tout de suite. Si elle est gonflée , rouillée et/ou qu’à l’ouverture de l’air s’échappe : jetez là tout de suite. Prenez garde également aux dangers du botulisme, notamment avec les conserves maison.

Un stock alimentaire : pour combien de temps ?

Autrefois, tout un chacun était sensible au risque des guerres et stockait naturellement. L’on vivait également au rythme des saisons et il n’était pas rare de posséder un an de réserve.

Aujourd’hui, le contexte peut sembler différent. Toujours est-il qu’en cas de crise, on sait toujours quand ça commence et jamais quand ça termine ! Le mieux demeure d’adopter une stratégie dit du « placard vivant » (pour reprendre le concept du survivaliste francophone Vol West). C’est à dire de stocker ce que l’on mange et de manger ce que l’on stocke, tout en étoffant régulièrement ses placards en achetant des articles en double, en triple (copy-canning). Le but consiste à atteindre une autonomie alimentaire maximale.

En parallèle, les survivalistes tentent, autant que faire se peut, de ne pas « mettre tous les œufs dans le même panier ». En cas d’incendie, d’inondation ou tout autre problème, il est préférable de conserver une partie de ses stocks plutôt que de tout perdre. Les « preppers » réfléchissent toujours en outre à une stratégie d’évacuation. Si une crise réclame un abandon du domicile, il est de bon aloi de posséder un sac d’évacuation (BOB – Bug ou Bag) tout prêt avec des réserves de nourriture pour quelques jours.

Quels aliments stocker pour un « stock de crise » ou une « réserve de survie » ?

Il n’existe bien sûr pas de liste toute faite. Tout dépend des besoins énergétiques, des goûts et des régimes alimentaires de chacun. En gros, stockez ce que vous consommez dans la vie de tout les jours !

Il convient toutefois de pousser cette réflexion en se projetant dans une situation où les commerces sont inaccessibles pendant un mois, voire plus. Si vous aviez l’habitude de manger des produits frais, des fruits et des légumes achetés chez le primeur, du lait et des œufs achetés chez le fermier… Il faudra faire preuve d’inventivité afin de maintenir un semblant de normalité ainsi qu’une alimentation équilibrée.

Bien sûr, une personne à la campagne bénéficiant d’un potager, d’un puits, d’un récupérateur d’eau de pluie et d’un poulailler, est favorisée par rapport au citadin ne disposant pas même d’une cour. Dénué de ce type de « confort », l’on se doit donc de prévoir des féculents, des légumes, des fruits, du poisson, de la viande, des produits laitiers, du sucre, de la farine, des condiments et des produits « plaisir », de la matière grasse… Bref, de tout selon son régime alimentaire !

Voici dans l’article suivant, une liste plus ou moins complète des aliments à stocker. Libre à vous de l’étoffer ou de la modifier selon votre mode de vie ainsi que celui de votre famille.

Un commentaire

  1. Bonjour , je film mon paquet de farine pour le proteger des insectes, je l’enveloppe ensuite dans un sac poubelle noir , est ce une bonne idée ? Merci pour la réponse

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